24 mars 1220Après avoir brillamment réussi l'épreuve pour faire partie intégrante de leur maison, cinq apprentis: Aedern Loyd de Criamon, Beors de Bjonaer, Gwyllt Ex-Miscelanea, Jupp Mac Ramsay de Verditius et Atkin Painel de Bonisagus doivent maintenant se tenir près à passer l'épreuve qui les désignera comme des mages confirmés et les admettra dans l'Ordre de Mercure.
Justement, leur covenant avait reçu il y a peu une demande d'aide provenant de la ville de Bath, ville réputé pour ses bains chauds réputés pour leur eaux guérisseuses et son abbaye de bénédictin s'occupant d'un camp de lépreux non loin de la ville.
Un des maîtres de guilde de la ville, au courant de l’existence des mage, a requis l'aide de ceux-ci pour soigné plusieurs artisans ayant subis les effets d'une lèpre fulgurante. En effet, que les cas se soient produit en une nuit et se soient développé de manière aussi rapide, en plus du fait que les victimes soient toutes devenues muettes, laisse pensé à une influence magique.
Les mages de passages a bath on réussi à mettre les malheureux sous stase et on envoyé la requête au covenant qui a jugé que cela constituerait une épreuve parfaite et envoya donc une caravane comprenant les 5 apprentis, leurs maîtres et leurs suivants.
3 avril 1220Le convoi arrive finalement à la ville de Bath et tandis que les mages se dirige vers la ville et sa maison Mercère, les suivants installent un campement au pied de la muraille.
A la taverne de la toque rouge, les mages sont directement accueillis par un membre de la maison qui les invite à se débarrasser et à le suivre dans un tunnel en dessous de l'auberge. Dans les tunnels tous les mages peuvent ressentir l'aura magique du lieu et arrivé au bout du chemin s'étonne de voir leur hôte et leurs maîtres passé à travers un mur, sauf Aeddern ayant reconnu un régio et le passant sans problèmes.
Au delà du régio les cinq apprentis peuvent contemplé se qui semble être un bain chaud idyllique, les mages leur conseillent de profiter du bain et qu'ils discuteraient plus tard.
Les cinq apprentis ne se firent pas priés et profitèrent des commodités, bien que Jupp s'intéressa d'abord à l'architecture et que Atkin fut un peu plus pudique. Au bout d'un moment les jeunes mage purent voir s'écouler d'eux un substance huileuse au même moment qu'un poids semblait s'envoler de leurs épaules. Comprenant l'utilité de la fiole remis à l'entré du bain, les mages recueillirent la substance et on leur expliqua que le bain avait la faculté d'occlure le côté négatif du don pendant une semaine et d'offrir au premier bain un pion de vice vim (de la magie à l'état pur).
Après le bain, les mages rassemblèrent leurs apprentis et leurs expliquèrent la situation, leur épreuve consistera à comprendre la maladie subite des artisans et à les soignés, pour cela ils avaient jusqu'à la prochaine lune, soit 15 jours, avant que les maîtres ne s'en occupent eux-même.
Le lendemain les aspirants utilisent surtout la journée pour repérée la ville et en apprendre plus sur les victimes. Ils apprennent ainsi que les victimes sont au nombres de quatre, deux boulangères : Eva et Mary « Baker » et deux Tanneurs : Adam et Norman « Furrier » et qu'à priori rien ne les reliaient.
Le groupe entendis également parler d'une tête de statue a été déterrée, il y a un mois et demi, près du maraîcher, les rumeurs disent qu'il s’agit de la représentation de Minerva de Sulis, l'ancienne déesse des sources qui selon l'histoire aurait soigné le roi Balbu, fondateur de la cité. La découverte aurait été emmenée au prieuré.
5 avril 1220Les novices ont décidé de se répartir les tâches, Atkin assisté de Aeddern iront examiné un patient, Norman Furrier, pour avoir se forger leur propre idée ; Jupp, intéressé par la statue, va essayé d'obtenir audience pour l'admirer, enfin Beors et Gwyllt iront interroger le commerçant ayant découvert la représentation.
Débarrasser de l'aura du don le criamon et le bonisagus n'ont aucun mal à s'inviter chez l'un des tanneurs, aidé par la présence de médecin de Atkin. Après avoir posé quelque questions à l'épouse, une jolie jeune femme au milieu de la vingtaine et attendant un enfant, les deux mages examinèrent le malade. Pendant que Atkin examine le corps, confirmant en effet que cela ressemble à la lèpre, Aeddern, grâce à ses pouvoirs mentaux, sonde l'esprit de l'homme pour essayer de découvrir ce qui a pu déclenché la maladie. Malheureusement ses examens n'apportèrent aucune réponses.
Jupp, au prieuré, fit la connaissance du père Benoit dont, par son savoir sur l'architecture et une admiration expansive, le verditius arrive à s'attirer la confiance et parvient à obtenir un droit de voir la statue mais le lendemain car le moine doit d'abord obtenir la permission du Prieur Adélard.
Enfin le Bjonaer et l'Ex-Miscelanea n'apprennent pas beaucoup plus auprès du maraîcher, ils entendent cependant que depuis que la statue à été déterrée, on peut entendre des sons la nuit provenant du Hot Bath.
Gwyllt, curieux, ressort vite de la ville afin d'invoquer une fouine qu'il charge de surveiller le bain et de venir le chercher si le phénomène se produisait.
Le soir même l'animal vint les chercher, et le groupe parvint à discrètement atteindre le bain, malgré les veilleurs de nuits. Sur place, les apprentis peuvent en effet entendre des bruits, comme des martellements mais en essayant de s'approcher discrètement, Jupp se cogne contre la porte et un bruit d'eau et de métal retombant au sol se fait entendre.
Le groupe commence à inspecter les lieux, Gwyllt essaye de reproduire les sons par magie afin de les identifié mais se précipite et crée un boucan qui attire un veilleur de nuit, seul un rapide effacement de mémoire de la part de Aeddern sauve le groupe d'un interrogatoire embarrassant.
L'assemblée finit par remarquer à l'autre bout du bain, une flaque d'eau dans laquelle se trouve une plaque de métal gravé énonçant une malédiction à l'encontre d'un voleur. Un rapide sort age la plaque à une septantaine d'années. Intrigué par cette découverte, et par l'aura féerique que le criamon a pu identifier, les jeunes mages continuent de chercher et Aeddern finit par remarqué une singularité : près de l'évacuation d'eau, trop petite pour passer pour un être plus grande qu'un poupon, il put remarqué une humidité qui n'aurait pas du être.
Jupp décide de transformer temporairement la pierre en verre pour observer le conduit et les novices purent observer qu'à porter de bras dans le conduit se trouvait d'autre plaque. Atkin introduit son bras pour les récupérer et le ressort précipitamment en criant que quelque chose a tenté de lui attrapé le bras. Intrigué, Beors introduit à son tour le bras et en ressort les plaques tout en disant qu'il n'avait rien ressentit de spécial.
Examinant les plaques, ayant toutes le même age approximatif, ils en découvrent une parlant d'infliger la lèpre à un voleur et ses descendants. Le groupe était sur le point de repartir quand une injonction de rendre les plaques les arrêta. Se retournant les apprentis purent voir un être se former à partir de l'eau et des vapeurs du bain.
La manifestation semble être l'incarnation de Minerva de Sulis cependant la conscience cognitive de l'esprit ne semble pas très développée et pour cause, elle ne s'est éveillé qu'il y a un mois un mois et demi de cela. Se rappelant de ce qu'on leur a appris sur les fées les mages comprennent que la découverte de la statue à réveillé l'être ; maintenant est ce l'ancienne Minerva qui n'a pas entièrement récupérer sa puissante ou juste une pâle copie née des racontars de la ville, les mages n'en savent rien.
Un rapide interrogatoire leurs apprend que c'est bien la fée qui, selon sa fonction, est responsable de la lèpre des artisans et que si l'objet volé était restitué elle pourrait lever la malédiction, sinon l'être semblait surtout concentrée sur la possession des plaques et le besoin de reconnaissance. Maintenant reste aux apprentis à trouver un objet volé il y a 70 ans. Avant de partir les mages obtiennent de pouvoir gardé la plaque semblant correspondre au cas qui les intéresse mais seulement jusqu'à la prochaine lune.
6 avril 1220Le groupe décide qu'il leur faut découvrir si il y a bien ascendance commune entre les victimes et si oui qui aurait pu être avoir volé et quoi. Aeddern et Atkin vont à la bibliothèque : le bonisagus pour se renseigné sur la roi Balbu et Minerva Sullis, le criamon d'en l’infime espoir que des cadastres pourraient leur donné une piste à suivre. Ils y passent la journée mais ne trouve pas beaucoup d'information si ce n'est un livre parlant des rois mythique du pays et une nouvelle parlant d'un gros effondrement de l'abbaye datant de l'époque qui les intéresses.
Les trois autres vont d'abord à l'abbaye, fort de l'invitation fourni à Jupp ; là bas il peuvent admirer la découverte et en effet confirmer intérieurement qu'elle ressemble à la fée vu la veille. Jupp par une nouvelle envolée admirative et pédante parvint à convaincre le père Benoit de plaider pour la conservation de l’œuvre.
Ensuite les mages vont interrogées la famille des victimes pour tenter de trouver un ancêtre commun et peut être un éventuel objet transmis par cet ancêtre. Chez les Bakers, la réception est initialement froide mais un petit sort de fidélité lancé par Beors dégèle la situation et le groupe apprend que non seulement les deux victimes sont sœurs mais obtiennent un petit arbres généalogique montant jusqu'à l'arrière grand père : Colin --> Hamond Baker --> Jocelin Baker --> Eva Baker et Mary Bake . Ils apprennent également des rumeurs sur Harding Furrier comme quoi c'était un mec louche de mauvaise réputation.
De retour chez les Furriers, les trois mages vont d'abord chez Norman, la victime déjà examiné, la femme, assez jeune, ne connaît pas vraiment la famille de son mari, cependant elle accepte de les présenter à sa belle sœur, la femme de l'autre victime.
Celle ci, plus âgée, parvint à leur donner l'ascendance de son mari : Colin --> Harding Furrier --> Norman Furrier et Adam Furrier ; et intérrogé au sujet de son beau père elle leur apprend que bien que bizarre et assez bourru, l'homme semblait toujours avoir le bien de sa famille et de son commerce en tête. Les novices apprennent également que Harding disparrissait régulièrement pour plusieurs mois dans la forêts proche de la ville et qu'il fréquentait souvent l'auberge de la toque rouge avant de disparaître subitement il y a 15 ans ; tout cela font comprendre aux mages que Harding était sûrement en possession du don. Avant de prendre congé le groupe arrive a se faire confier un objet fabriqué par Harding, une patte de lapin dont s'échappe des émanations magique, avec pour instruction de la rendre après enquêtes. Jupp et Gwyllt ont bien envie de la garder, l'un pour tenter d'en récupérer le vice malgré la difficulté d'une telle tâche, l'autre pour voir si elle a d'autre capacité que la protection des peaux et des fourrures.
Rassemblés à l'auberge, les mages confirment que Harding était bien un Trémère (indépendant ou non, difficile à dire avec cette maison), ils apprennent aussi que la plaque est un Defixio, une manière antique de lancer un sort à travers les âges et les barrières encore très méconnue.
Il fut décidé de cherché la forêt le lendemain, dans l'espoir de retrouvé le laboratoire de Harding, Aeddern tentera de se lancer un sort lui permettant de voir la magie pour la journée, Gwyllt invoquera des animaux qu'il pourra interroger et Beors prendra sa forme d'ours pour tenter de sentir quelque chose. Ensuite les trois sus mentionné décidèrent d'aller se coucher, cependant Jupp et Atkin veulent encore faire une petite visite à Minerva de Sullis. Le verditius parvint, en créant une représentation de la fée dans la colonne de marbre en face de la porte, à se faire donner un des Defixio encore actif ; il est vrais que cette nouvelle et soudaine décoration devrait entraîner la ville à parler plus de l'ancienne déesse, si le mage veut obtenir plus de plaque il devra faire encore plus gros. Le bonisagus essaye, par forte cajolerie et compliment, de faire parler l'être du passé, mais la fée n'a aucune mémoire de de l'ancien temps ; à nouveau est ce par manque de puissance ou parce qu'elle n'est qu'une pale copie de l'original ?