Journal de bord du Capitaine Shenrad
En l’an 36 de la Seconde Ere :
1er Jour, La rencontre :
Je m’installai à une table de l’auberge, du village de Buire, en attendant la venue de mes futurs compagnons de route. Ne voulant pas les effrayer, je les regardai de ma position.
La barbare entra la première, elle s’appelle Amiri, bien que ne possédant pas d’une beauté, mieux ne vaut pas tâter de son épée. Elle était suivie de peu par un gobelin, vêtu d’un costume de singe, un haut de forme et d’un nœud papillon, et un paladin, respectivement, Jean-Claude et Aelred, Jean-Claude se mis à danser sur la table d’Amiri et Aelred. Ce fut à ce moment qu’Oskar, Rosco et Guntha, deux archers hommes et un loup, rentra dans l’auberge, voyant l’excentricité de Jean-Claude et des rires d’Amiri, Oskar les dévisagea et s’installèrent à la table du fond.
Maintenant, ce fus le tour de Volèrbe, l’ensorceleur du groupe qui fit son entrée, il n’hésita pas, il se dirigea directement dans la direction de la table d’Oskar et de ses amis.
Je me levai, les visages se retournèrent, Jean-Claude arrêta de danser, Amiri finit sa son verre d’une seul gorgée, Oskar, Rosco et Volèrbe interrompu leur discussion. Je présentai les villageois du village, mes compagnons firent de même, j’expliquai leurs situations et le pourquoi j’ai dû faire appel à eux.
Après une heure de discussion, plusieurs bières bues par Amiri. Nous prenons la route en direction du village de Bourmour.
Au détour d’un virage, nous arrivions près d’un pont gardé par trois Ogres. Deux qui ont l’apparence de taille moyenne, mais le troisième au fond était bien plus grand et plus fort que ces acolytes.
On s’est mis en formation, Aelred, Amiri et moi devant avec Volèrbe nos côtés. Oskar, Rosco et Guntha dans les bois de gauche. Jean-Claude partit quant à lui du côté droit. Volèrbe tenta de discuté avec ses Ogres mais en vain. Le combat commençait, Volèrbe se mangea un puissant coup, qu’il dû se replié derrière nous.
Oskar et Rosco, avec leurs talent d’archer firent rapidement tomber l’un deux premiers Ogres avec l’appui d’Aelred.
Pendant ce temps Amiri, Volèrbe et moi s’occupions de l’autre Ogre, je commençai à me poser des questions concernant Jean-Claude, avait-il prit la fuite ? S’était-il caché attendant la fin du combat ? J’i rapidement eu les réponses, Jean-Claude fit un magnifique saut dans la rivière ce qui fit bien rire les Ogres, Amiri en profita pour planter son épée dans la clavicule de l’Ogre, j’ai cru pendant un instant qu’il tomberait raide mort, n’importe qui ne supporterait pas une tel attaque mais au contraire l’Ogre s’énerva de plus en plus. Quelques secondes plus tard je vis l’épée géante tourner au-dessus de moi et trancha net la tête de cet Ogre.
Jean-Claude arriva de l’autre côté du pont et tenta de faire diversion, mais sans succès.
Ce fût moi et Aelred qui arriva au contact de ce qui semblait être le chef. Les archers font bien leurs travaille, ils affaiblissaient l’Ogre, Amiri se prit une violente javeline, mais pas de crainte à avoir, c’est une barbare après tout.
Jean-Claude, je ne sais comment, arriva en dessous de l’Ogre. Une belle entaille fit chanceler l’Ogre, Amiri chargea, au dernier moment, elle sauta mais n’était pas dans l’axe, elle abattit son épée dans le sol à quelques centimètres de la tête de ce pauvre Jean-Claude qui ne pus qu’observer l’arrivée de cette gigantesque lame. Grâce ou à cause de cela, Jean-Claude arracha, par je ne sais quel miracle, les parties génitales de l’Ogre et… et… bu l’entièreté de ce qu’il en sortait.
Ce qui amusa fortement Amiri mais pas le reste du groupe et je peux tout à fait comprendre.
Nous récoltions les effets et les butins des ogres. Nous avons pris la décision d’établir un camp et de nous y reposer pour la nuit.
Amiri était de garde à ce moment-là et me raconta que pendant la nuit Volèrbe s’était levé pour aller voir le coffre de Jean-Claude, il l’avait trouvé dans le camp des Ogres pendant la fouille, mais que lorsqu’il redescendit de l’arbre il me dit que ce coffre était rempli de doigts humains.
2ème Jour, Les Présentations :
Nous sommes arrivé à Bourmour, au petit matin, nous ne firent pas de halte mais une fois à l’intérieur, une fois de plus Jean-Claude avait disparu on ne se posa de question bien que moi, je me suis dit que ce serait bien qu’il se présente devant l’ancien du village afin qu’ils le prennent pas pour un ennemi.
Par chance, il nous a rejoints avant d’entrée dans la demeure de l’ancien, une fois à l’intérieur nous attendions l’Ancien. Amiri vola quelques bouteilles de bon hydromel, Aelred la vit bien que celle-ci ne voulait pas payé. Aelred ne se laissait pas influencé par le regard d’Amiri et elle déposa quelques pièces sur le comptoir, bien que la suite je ne le savais pas, je l’ai appris bien après nos aventures, Volèrbe rendit les pièces à Amiri en lui lançant un clin d’œil.
Une fois dans la pièce avec l’Ancien, il nous racontait les histoires du village ainsi que les ennemis, en mentionnant de vieilles ruines qui pourrait être le camp des ennemis.
Sans dire un mot, Amiri, Volèrbe et Jean-Claude se leva pour aller voir si cela est bien vrai. Une fois levée ils demandèrent si une personne du village connait les environs afin de savoir le chemin à prendre pour arriver à ses ruines. L’Ancien mentionna le chasseur du village qui doit posséder des cartes de la région.
Ils partirent donc en repérage de la zone, pendant ce temps-là nous restions au village afin d’établir les défenses du village.
Une fois de retour au village avant la tombée du jour, Amiri, Volèrbe et Jean-Claude nous racontèrent leurs aventures. Ils arrivèrent bientôt à une colline où ils leur semblèrent que des garde surveillaient la zone, ils prirent la décision de les prendre en embuscade, une fois en haut de cette colline, deux ennemis étaient présent. Ce fut Jean-Claude qui fut le premier au contact de l’ennemi, il paraitrait que Jean-Claude serait doté d’un puissant don qui ne ferait céder aucun ennemi de sa prise sauf lorsqu’il serait mort. Selon Amiri et Volèrbe ce serait sa, la vrai nature de Jean-Claude. L’autre ennemi aurait mystérieusement disparu, ils le cherchèrent jusqu’à ce que Amiri vis des empreintes.
Une poursuite commença, elle fut longue et dangereuse mais c’était primordiale, ils ne volèrent laissé un témoin des incident. Amiri rattrapa rapidement l’ennemi en question mais ne le laissa pas en vie car d’autres ennemi arrivèrent devant eux et que suit au combat et à la sortie de rage d’Amiri ne purent reprendre un combat.
Ils décidèrent donc rentré le plus vite possible au village.
L’Ancien était très inquiet des aventures des aventures des trois éclaireurs, Amiri rassura l’Ancien que si les bandits viendraient que nous serions présent pour les protéger, et que c’était pour cela que nous étions engagés. L’Ancien repartit donc à ses affaires.
Nous décidons d’aller nous coucher après une journée épuisante soit à la mise en place des défenses du village, soit au repérage du camp ennemi.
3ème Jour, Un combat bien compliqué :
Je me levai tranquillement et pris mon petit déjeuner dans l’auberge, mes autres compagnons arrivèrent presque en même temps, nous discutions de tout et de rien mais les principaux sujets sont : les bandits et la défense du village.
Alors qu’un débat était ouvert, un nain entra dans l’auberge, je le connais, il s’appelle Rogar, j’ai fis appel à lui pour qu’il puisse nous aider en cas de coup dur, je l’ai rencontré près de chez lui, bien plus loin au nord.
Je le laissai se présenter aux autres compagnons, il l’accueillir sans poser de question, ils ont peut-être vu l’intérêt d’avoir un prêtre dans l’équipe… ou bien ils apprécient juste le nain… soit.
Alors que nous continuons de déjeuner paisiblement, qu’un garde de la porte nord commença a crié : « Des ennemis ! Des bandits à la porte Nord !! ».
Abandonnant nos plats, nous nous dirigions d’un pas pressé vers la porte mentionné, nous constations en effet une troupe mené par un homme avec deux Demi-Orque, deux Ogres, un nain, décidemment, une femme, on dirait une sorte d’elfe. Je n’aime pas son regard, elle nous dévisage avec un regard de dégout, que je lui ferais retirer au sitôt que je serai à son hauteur.
« Nous ne voudrions que passés afin de parler au chef du village », disais l’homme à la tête du groupe.
« Pourquoi ?! » lui répondit Amiri
Afin de ne pas choqué les personnes qui lirons un jour ces lignes, je ne continuerai pas à retranscrire la discussion très mouvementé entre ces inconnus et Amiri.
Le combat commença, Amiri, Aelred et moi restons à la porte. Rogar était derrière nous, Jean-Claude au-dessus de la tour de garde. Quant à Oskar, Rosco, Guntha et Volèrbe, ils se mirent dans les bosquets à droite de la porte afin de les prendre par surprise sur leurs flancs gauche. L’effet de surprise fonctionna très bien, ils réussirent à attirer un des deux demi-orques vers eux. Rogar nous surpris tous avec sa déflagration de feu qui s’abattit sur le deuxième demi-orque et blessa un des deux ogres. Le nain ennemi bus une potion qui changea sa peau en pierre.
Quant à l’elfe elle nous balaya avec un éclair qui quelques dégâts à Amiri, elle chargea jusqu’à mi-distance avec les ennemis.
Jean-Claude partit sur le côté gauche, je ne sais quel coup fit tomber l’elfe dans l’inconscience car tout se passa très vite, mais soit, cela faisait un ennemi un moins, j’ai appris plus tard que c’était grâce au flèches de Volèrbe. Un ogre chargea Amiri, elle esquiva la charge, le combat commença réellement.
Rapidement, les ogres se font démontés par Amiri et avec l’aide d’Aelred. Le demi-orque s’abattit rapidement suite à un nombre incalculable de flèches dans le corps.
L’homme quant à lui se fit décapité par Amiri, je comprends le surnom que lui donne ses semblables, l’arracheuse de têtes, Jean-Claude, que dire… il semble en effet que c’est un réel atout, pouvoir tué un nain doté d’une peau de pierre, je pense que je garderai dorénavant un œil ouvert pendant mon sommeil.
Rogar, je ne regrettai pas sa venue au contraire, je suis soulager, après ce combat, je pensais que nous serions obligé de nous restauré au village mais il rassemble les blessés et par une incantation, réussis à faire en sorte que tout le monde soit bien.
L’elfe avait mystérieusement disparu pendant la bataille, nous avons découvert bien trop tard qu’elle avait pris la fuite… par les airs.
Nous rassemblions les effets laissés par les ennemis, en donnant une bonne partie au village.
À l’unanimité, ou presque, nous nous dirigions vers le camp ennemi.
A mi-chemin de l’objectif nous avons fait une petite halte, Jean-Claude en profita pour chercher un nid de guêpes, aider par Oskar, Jean-Claude était euphorique, je n’étais pas rassuré comme Aelred et étonnement par Amiri, bien qu’elle s’amusa bien avec Jean-Claude en écoutant le bruit que faisaient ses guêpes lorsque Jean-Claude secouait le nid.
Arrivé à une intersection, nous virent un groupe d’ennemi, constitué de, de-nouveau, de quatre ogres, de quatre demi-orque, de deux assassins et d’un archer, ils transportèrent avec trois chariots, dont deux bien remplis et d’un avec quelques butins et… une cage avec ce qui ressemblait un homme ou peut-être une femme, je ne serais pas le dire, à l’intérieur.
Alors qu’Aelred, Jean-Claude, Rogar, Amiri et moi étions au milieu de l’intersection, comme à leurs habitudes, Oskar, Rosco, Guntha et Volèrbe se cacha dans les buissons aux abords de la route.
Lorsque la cargaison d’ennemis s’approchaient, Jean-Claude fit tomber le nid de guêpes, Aelred eu la magnifique idée de se mettre à l’abri. Cette action, fit bien rire les ennemis. Amiri en profita pour charger sur les ennemis. Le combat était long et difficile d’autant plus que les guêpes n’arrangeaient pas la situation. Malgré les difficultés, grâce aux exploits de chacun, aux efforts de cette équipe soudée. Nous avons réussis à les éliminés, par exemple, encore les quelques décapitations d’Amiri, les puissants sortilèges de Rogar, les nombreuse flèches d’Oskar, de Rosco et de Volèrbe qui réussit à bien faire diversion. L’acharnement de notre Paladin, la haine de Jean-Claude envers ses pauvres canassons.
Nous avons libéré le ou la prisonnier(ère), il ou elle nous aida à réussir à tous les tués, à part un que je voulais absolument interroger sur notre objectif finale. J’appris à mon malheur, qu’une chose nous attendait au camp et que tous les bandits craignent même les ogres. Les villageois envoyé avec nous, sont rentré pour ramener les chariots et mon prisonnier. Amiri me confirma, plus tard, que la prisonnière était bien une femme, Nimyë qu’elle s’appelle, je ne sais pas pourquoi mais un sourire se dessina sur son visage d’ordinaire sérieux, peut-être se sent-elle plus rassuré… de ne plus devoir joué les grosses brutes quand une femme est avec elle. Enfin, cela ne me regarde pas. Sa reste leur histoire après tout.
A la tombée du jour nous arrivions près du camp ennemi, mais lorsque nous cherchions cette monstrueuse bête, ce fut Volèrbe qui nous rapporta que c’était un cyclope de taille adulte qui nous attendait dans la grotte à l’Est du camp. Après mure réflexion nous ne pouvions pas laisser une telle créature dans les parages, le courage du Paladin, vouant sa vie a éradiqué les démons de nos terres, se fit ressentir.
Pas d’autres choix, nous allions affronter une créature née pour tuer.
Les archers firent le tour pour le prendre sur son flanc, après quelques échecs de charge effectué par Amiri et Aelred. Pas mal de coup ramassé dans nos figures.
Guntha, on peut le dire nous a peut-être sauvé la vie, ainsi que de Nimyë, qui fit que le cyclope fut désarmé. Guntha prit en tenaille le cyclope, Amiri en profita, ainsi qu’Aelred, Jean-Claude et moi. Oskar, Rosco, Volèrbe et Rogar s’occupa de l’affaiblir à distance. Une finale digne des héros, grâce à l’immense tenaille effectué par Amiri, Aelred et moi. Amiri fit un coup de grâce en abattant son immense épée dans la tête du cyclope. Tomba raide mort.
Tout le monde, épuisé par ses combats, se laissèrent tombé de de fatigue, un soulagement, de s’être débarrasser de tous ces ennemis.
Que d’aventures, que de périples, des enchainements de périlleux combats mais surtout le risque de perdre la vie. Quand je pensais que nous n’avions pas arrêté depuis le début de risquer notre vie, ma mémoire me rappela ce qu’un ami, un frère d’arme m’a dit :
« Je ris de la mort, elle nous voit là, presque achevé mais dans élan de survie, nous déjouons ses plans un par un pour survivre. ». Jusqu’au jour où mon ami lorsqu’il était couvert de flèches, de la ceinture jusqu’à l’épaule me dit : « Je la vois, elle me tend les bras, je pars mon ami, ne pleure pas les morts car ils sont en paix. Pleure plutôt les vivants qui ne connaitront l‘amour ou l’amitié ». Sur ces dernières pensées, nous nous préparions pour la nuit, après tous ces combats, nous avons tous besoins d’un bon repos.